ALGER- Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi a mis l'accent jeudi lors d'une audience accordée à une délégation de l'Union nationale des opérateurs de la pharmacie (UNOP), sur "l'impératif d'assurer la disponibilité des médicaments et des différents équipements médicaux, de manière à couvrir les besoins nationaux exprimés", tout en veillant à "réaliser la complémentarité escomptée entre les secteurs public et privé en la matière", indique un communiqué du ministère. S'inscrivant dans le cadre d'une série de rencontres consultatives périodiques, cette rencontre a été l'occasion pour le premier responsable du secteur d'"appeler à l'impératif d'assurer la disponibilité des médicaments et des différents équipements médicaux de manière à couvrir les besoins nationaux exprimés par les établissements et structures de santé", ajoute le communiqué. Dans le même contexte, M. Saihi a mis l'accent sur "la nécessité d'oeuvrer à développer et encourager la production locale en veillant à atteindre la complémentarité escomptée entre les secteurs public et privé", précise le communiqué. M.Saihi a, en outre, affiché son "soutien en faveur des acteurs activant dans le secteur de la Santé, en s'attelant à éliminer les entraves et les obstacles auxquels ils font face". Dans ce cadre, un groupe de travail sera installé, ainsi qu'un espace de consultation entre les différentes parties prenantes pour examiner laquestion de la disponibilité continue des médicaments", via des réunions périodiques dans le but de "prendre toutes les mesures à même de mettre fin aux pénuries". M.Saihi a insisté, par la même occasion, sur "la coordination permanente entre l'Agence nationale des produits pharmaceutiques (ANPP) et la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH)". Au terme de la rencontre, "le ministre de la Santé a mis l'accent sur la réalisation d'une étude sur les besoins exprimés par le système sanitaire de notre pays et l'impératif de les satisfaire au profit du patient", conclut le communiqué.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (Boudjedri Mounia)
CONSTANTINE- La start-up "Assista-soins" de Constantine spécialisée dans le domaine de la santé numérique vient d’être sélectionnée pour représenter l’Algérie au Sommet mondial de l’entrepreneuriat devant avoir lieu du 14 au 18 avril 2024 au Chili, a annoncé lundi son directeur Bilel Fellahi. La start-up "Assista-soins" qui assure des services de santé à domicile a été choisie pour représenter l’Algérie au Sommet mondial de l’entrepreneuriat (Chili) à l’issue des éliminatoires du concours de sélection organisé en début de semaine à l’Instruit supérieur des sciences (ISS) de Bordj El Kiffan (Alger), a précisé à l’APS M. Fellahi qui a indiqué que la start-up ne ménagera aucun effort pour honorer l’Algérie dans cet évènement international. La sélection de "Assista-soins" a eu lieu en présence d’experts et de représentants de plusieurs ministères et Directions concernés en plus de spécialistes en cybercriminalité qui ont assisté à l’exposé donné par les membres de cette start-up qui a pu se distinguer à l’échelle nationale grâce à la nature de son idée innovante et la qualité des services de santé offerts, a-t-on ajouté. Cette start-up qui a décroché le label de projet innovant (start-up) en 2023 assure des soins, des consultations et l’hospitalisation à domicile, a souligné M. Fellahi, rappelant que la start-up avait commencé ses interventions sur le terrain le mois de ramadhan dernier. A ce jour, Assista-soins a assuré plus de 300 interventions à domicile à travers toutes les communes de la wilaya, a indiqué la même source, précisant que la start-up a pu rassembler plus de 185 partenaires dont des médecins, infirmiers, sages femmes et assistants médicaux, entre autres. La start-up Assista-soins est encadrée par cinq membres spécialisés en médecine, en informatique, génie logiciel, électronique et en multimédia, a-t-on fait savoir.
ALGER - Près de 8000 maîtres-assistants (classe B), titulaires de diplômes de magistère ou de doctorat, ont été recrutés dans les différents établissements universitaires, a annoncé, samedi dans un communique, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. "Dans le but d'éradiquer le chômage chez les porteurs des diplômes de magistère et de doctorat, et sur la base des propositions du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, approuvées lors du Conseil des ministres du 14 mai 2023, le ministère a procédé au recrutement de près de 8000 maîtres-assistants classe B dans les différents établissements universitaires", indique la même source. Le ministère a fait état, dans le même cadre, d'une "opération pour le recrutement de 1.409 maîtres-assistants hospitalo-universitaires, et de 693 enseignants-chercheurs (classe B) dans les centres de recherche, pour un total de plus de 10.000 postes budgétaires". "Cette opération, la plus importante dans l'histoire de l'université algérienne, reflète le grand intérêt et les efforts fournis par l'Etat au profit de cette catégorie", a souligné le ministère.
TLEMCEN - Le Centre intermédiaire de soins en addictologie Kheirat-Mohamed de Tlemcen a accueilli, depuis le début de l’année en cours, plus de 600 personnes, âgées entre 15 et 35 ans et plus, qui ont une addiction aux différents types de drogues, a-t-on appris de son directeur, Metalsi Tani Mohamed. De nombreux cas ont bien répondu au traitement, grâce à la volonté du toxicomane et du soutien de sa famille, et surtout au respect des séances de traitement individuelles et collectives pendant une période de plus de six mois, a-t-il expliqué, ajoutant que les patients du centre sont de différents profils (jeunes mariés, travailleurs, étudiants et autres). Le Centre intermédiaire de soins en addictologie de Tlemcen est considéré comme un dispositif d'accompagnement des toxicomanes pour les délivrer de leur addiction et les réinsérer dans la vie familiale et sociale. Ce centre, qui a ouvert ses portes le 17 février 2022, accueille des personnes ayant une addiction aux différents types de drogues et aux réseaux sociaux, et autres malades mentaux, de Tlemcen et des wilayas avoisinantes, a déclaré M. Metalsi. Il offre plusieurs prestations dont l’accueil des toxicomanes et de leurs familles, le diagnostic des problèmes d’addiction, des consultations spécialisées en addictologie et en psychiatrie, en plus de l’écoute, de la prise en charge psychologique, de l'aide à la réinsertion sociale, de la prévention contre la rechute et de l’orientation vers des centres spécialisés. Les toxicomanes bénéficient de nouvelles techniques, comme les thérapies de groupe, avec des séances d’échange d’expériences entre les patients, encadrées par une équipe médicale pluridisciplinaire, note-t-on de même source. L’équipe médicale est composée de 4 médecins spécialistes en psychiatrie, 10 psychologues, ainsi que de paramédicaux, qui bénéficient de formations de façon continue, pour améliorer leurs capacités à traiter avec les différents cas qu’accueille le centre, a-t-il dit, précisant qu’il existe une autre unité qui relève du centre, implantée au niveau du centre hospitalier de Tlemcen, spécialisée dans la prise en charge des enfants souffrant d’addictions et de maladies mentales, et d’une troisième qui prend en charge des autistes. Des efforts pour aider les toxicomanes au sevrage La majorité des cas qui frappent à la porte de ce centre, présentent des symptômes typiques à la toxicomanie, comme l’anxiété, la transpiration excessive et l’hyperthermie, et les équipes médicales les aident à les atténuer par le biais de médicaments, avec le soutien des psychologues qui les motivent et les poussent vers l’avant, pour ne pas baisser les bras ou rechuter, a souligné, pour sa part, Dr Bouchekif Fatima, spécialisée en addictologie. Elle a indiqué qu’il existe différents procédés thérapeutiques, individuels et en groupe, et les patients bénéficient d’accompagnement psychologique pour reprendre confiance en eux et apprendre des expériences d’autres toxicomanes ayant réussi leur sevrage, le tout avec l’implication des familles dans les thérapies de groupe. La même spécialiste a déclaré que la majorité des cas suivis au niveau du centre sont des jeunes âgés entre 15 et 18 ans, tombés dans le piège de la drogue. Selon Dr Bouchekif, la situation géographique de la wilaya de Tlemcen sur les frontières ouest du pays, constitue un "facteur principal" dans la propagation de la consommation de ces produits prohibés parmi les jeunes. "La durée nécessaire pour le traitement de la toxicomanie dépasse six mois. Elle varie selon le type de drogues et la durée de leurs prises et les équipes soignantes veillent à ce que le patient ne rechute pas", a fait savoir la même source. De son côté, Dr Fekhar Nesrine, spécialiste en psychiatrie et addictologie au niveau de l’unité de la prise en charge des enfants toxicomanes, au centre hospitalier de Tlemcen, a estimé que l’addiction aux drogues résulte souvent de problèmes familiaux, comme le divorce, ainsi qu’à la curiosité qui pousse des adolescents à essayer de "nouvelles choses", à l’insu de leurs parents. Les parents de ces adolescents ne se rendent à l’évidence qu’une fois que le comportement de leurs enfants change, que les résultats scolaires deviennent déplorables, les demandes d’argent excessives et les entrées tardives à la maison le soir. Parmi les cas suivis au centre intermédiaire de soins en addictologie de Tlemcen, l’APS a rencontré un jeune âgé de 21 ans, très assidu, qui ne rate aucune séance depuis plus de trois mois. Armé d’une grande volonté, ce jeune espère "tourner la page de la toxicomanie pour commencer une nouvelle vie", a-t-il concédé, d’une voix chargée de regrets. La directrice de l’Agence locale de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS), Sonia Laamouri, a souligné, elle, que la CNAS participe à la lutte contre la toxicomanie via une batterie de mesures qui régissent de manière "très rigoureuse" la vente des psychotropes, avec des conditions strictes pour le remboursement, la soumission des ordonnances au contrôle médical, ainsi que la réservation de la prescription des médicaments à des médecins spécialistes, en plus d'accorder des avantages financiers aux médecins conventionnés pour toute action de prévention contre la toxicomanie au profit des cotisants.
ALGER - Le secteur de la Formation et de l'Enseignement professionnels assurera plus de 500.000 nouvelles places pédagogiques dans divers modes de formation au titre de la prochaine rentrée prévue le 8 octobre, a indiqué le sous directeur des examens et concours au ministère, Mohamed Azzoug. Dans une déclaration à l'APS, M. Azzoug a précisé que le secteur "assurera 505.335 nouvelles places pédagogiques au titre de la rentrée de la formation professionnelle prévue le 8 octobre prochain, soit une hausse de 67,36 % par rapport à l'année dernière". Le même responsable a ajouté que des formations par apprentissage, en présentiel, à distance, des formations au profit des femmes au foyer, des populations rurales, des bénéficiaires de l'allocation chômage et des personnes aux besoins spécifiques sont prévues. Le ministère "a mobilisé, a-t-il dit, tous les moyens techniques et pédagogiques en prévision de cette rentrée, en sus des antennes ouvertes au niveau des établissements de formation et des spécialités prévues dans le programme pédagogique de la formation professionnelle, dont 410 spécialités pour les formations diplômantes et 142 formations qualifiantes de courte durée". L'ensemble de ces spécialités couvrent 23 filières professionnelles qui figurent dans la nomenclature des spécialités de la formation professionnelle, établie selon les spécificités de chaque région et les exigences de l'économie nationale". Concernant les nouvelles spécialités, l'intervenant a indiqué que le secteur a programmé pour la première fois, au titre de la prochaine rentrée de la formation, "la spécialité de technicien supérieur en dessalement de l'eau de mer", rappelant la spécialité de technicien supérieur en maintenance des équipements de l'industrie pharmaceutique, introduite, l'année dernière, dans le programme de formation. Il a cité, en outre, d'autres nouvelles spécialités prévues, à la prochaine rentrée au niveau de certaines wilayas, dont la restauration du patrimoine bâti en mode formation par apprentissage dans les wilayas de Tébessa et Saïda, et la spécialité de tissage du tapis traditionnel dans la wilaya de Bordj Badji Mokhtar. Dans cette perspective, M. Azzoug a souligné que le secteur se base, dans les offres de formation, sur "les filières professionnelles à caractère prioritaire, comme les secteurs de l'agriculture, de l'agroalimentaire, du numérique, du bâtiment et des travaux publics, de l'électricité, de la restauration, d’hôtellerie, de l'artisanat, de l'eau, de l'environnement et des énergies renouvelables". Il a rappelé les mesures prises par le secteur pour "assurer une formation dans des spécialités répondant aux exigences de l'économie nationale, en fonction des besoins exprimés par les entreprises économiques en termes de main œuvre qualifiée". M.Azzoug a en outre rappelé que les inscriptions dans le cadre de la prochaine rentrée professionnelle avaient débuté le 15 juillet dernier et se poursuivront jusqu'à la fin septembre prochain.
ALGER- L'Agence thématique de recherches en sciences et technologie (ATRST) a lancé des projets de recherches thématiques dans le domaine du dessalement de l'eau de mer et a accepté le financement et l'accompagnement de 18 projets dans un premier temps, a indiqué l'ATRST lundi dans son communiqué. "Cette démarche intervient en application de la politique du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune pour assurer la sécurité hydrique désormais menacée par les retombées des changements climatiques", et ce à travers l'adoption d'une politique associant les différentes compétences scientifiques à l'intérieur et à l'extérieur du pays, précise le communiqué. De surcroît, cette politique vise à concrétiser une approche commune entre le secteur de la Recherche scientifique, du développement technologique et Dans ce contexte, l'ATRST a adressé une invitation à l'échelle nationale pour des propositions de projets de recherche sur le dessalement de l'eau de mer et a reçu 33 projets de recherche, dont 18 acceptés pour le financement et l'accompagnement. Les porteurs de projets travailleront avec plusieurs opérateurs économiques en la matière, à l'instar des stations de dessalement de l'eau de mer, de la Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (SEAAL), de la Chambre algérienne de la pêche et de l’aquaculture, de l'Entreprise nationale de génie civile et bâtiment (ENGCB) filiale de Sonatrach, de la société Algerian Energy Company (AEC), de l’Entreprise nationale des produits de l’électrochimie (ENPEC), de l'Agence nationale de dessalement de l'eau (ANDE), de l'Agence nationale de gestion intégrée des ressources en eau (AGIRE), du groupe Cosider et de nombreuses autres entreprises. Les thèmes sélectionnés portent sur les volets relatifs à l'analyse, le prétraitement, le traitement, le post-traitement, les filtres utilisés dans l'osmose inverse, les impacts de l'assainissement engendrés par les stations de dessalement de l'eau de mer sur les écosystèmes marins des côtes algériennes, outre les applications des énergies renouvelables (ENR) dans le dessalement de l'eau de mer.
ALGER- Une rencontre de coordination a eu lieu, lundi à Alger, entre la ministre de la Numérisation et des Statistiques, Meriem Benmouloud et le président du Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), Mustapha Hidaoui, consacrée à l'importance de la contribution des jeunes àla réussite de la stratégie du secteur en matière de transformation numérique. A cette occasion, Mme Benmouloud a expliqué que cette rencontre de coordination avait permis de passer en revue les principaux projets en cours de réalisation par le ministère, afin d'atteindre les objectifs de la transformation numérique et de mettre en avant la contribution du CSJ à la concrétisation de cette stratégie nationale. Le CSJ joue, en tant qu'instance représentant la catégorie d'âge qui utilise le plus les technologies de l'information et de la communication (TIC), un rôle prépondérant dans la réussite de la stratégie du ministère, notamment en matière de citoyenneté numérique, a-t-elle souligné. Pour une concrétisation effective de cette coopération, ajoute la ministre, un groupe de travail conjoint a été installé en vue de définir la feuille de route qui englobe les principaux axes de coordination entre les deux institutions. De son côté, M. Hidaoui a indiqué que la rencontre qui s'inscrit dans le cadre de la série de réunions du CSJ avec les secteurs gouvernementaux, était une occasion pour évoquer les efforts déployés par le secteur dans le cadre de la politique de numérisation. La rencontre a également offert l'opportunité d'examiner les domaines de coopération et formuler des propositions à même d'améliorer l'environnement numérique dans le pays, a-t-il conclu.
ALGER- Une rencontre de coordination a eu lieu, lundi à Alger, entre la ministre de la Numérisation et des Statistiques, Meriem Benmouloud et le président du Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), Mustapha Hidaoui, consacrée à l'importance de la contribution des jeunes àla réussite de la stratégie du secteur en matière de transformation numérique. A cette occasion, Mme Benmouloud a expliqué que cette rencontre de coordination avait permis de passer en revue les principaux projets en cours de réalisation par le ministère, afin d'atteindre les objectifs de la transformation numérique et de mettre en avant la contribution du CSJ à la concrétisation de cette stratégie nationale. Le CSJ joue, en tant qu'instance représentant la catégorie d'âge qui utilise le plus les technologies de l'information et de la communication (TIC), un rôle prépondérant dans la réussite de la stratégie du ministère, notamment en matière de citoyenneté numérique, a-t-elle souligné. Pour une concrétisation effective de cette coopération, ajoute la ministre, un groupe de travail conjoint a été installé en vue de définir la feuille de route qui englobe les principaux axes de coordination entre les deux institutions. De son côté, M. Hidaoui a indiqué que la rencontre qui s'inscrit dans le cadre de la série de réunions du CSJ avec les secteurs gouvernementaux, était une occasion pour évoquer les efforts déployés par le secteur dans le cadre de la politique de numérisation. La rencontre a également offert l'opportunité d'examiner les domaines de coopération et formuler des propositions à même d'améliorer l'environnement numérique dans le pays, a-t-il conclu.
ALGER - Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, lundi, la mise en place d'une cellule d'écoute spéciale pour les nouveaux bacheliers, pour être en contact avec la tutelle afin d'obtenir tout renseignement ou précision. Le ministère a précisé, dans un communiqué, avoir mis à la disposition des nouveaux bacheliers (session juin 2023), "les deux numéros de téléphone 023238057/023238077 via lesquels ils pourront contacter le ministère pour avoir tout renseignement ou précision". La tutelle est joignable sur ces deux lignes de 7h00 à 20h00, et ce tout au long de la période des inscriptions universitaires définitives.
ALGER- Le ministère de l'Education nationale a affirmé, jeudi dans un communiqué, que les enseignants désirant effectuer un transfert vers une autre wilaya étaient appelés à s'inscrire sur la plateforme numérique mise en place par le secteur. "Le ministère de l'Education nationale informe l'ensemble des enseignants, tous cycles confondus, désirant effectuer un transfert vers une autre wilaya, y compris ceux ayant déposé leurs demandes au niveau des Directions de l'Education, que cette opération se fait exclusivement via la plateforme numérique, et ce en s'inscrivant sur l'espace qui leur est réservé, à travers le lien: https://ostad.education.gov.dz", précise le communiqué. "L'opération réservée aux inscriptions s'étale sur la période allant du dimanche 06 août 2023 à 11:00 au jeudi 31 août 2023 à minuit (00:00)", ajoute la même source .