Le 7 septembre 2024, l’Algérie a vécu un moment électoral qui pourrait se révéler décisif, une présidentielle dont le principal enjeu se réduit, paradoxalement, à une statistique : le taux de participation.
Le 7 septembre 2024, l’Algérie a vécu un moment électoral qui pourrait se révéler décisif, une présidentielle dont le principal enjeu se réduit, paradoxalement, à une statistique : le taux de participation.
« Les élections présidentielles du 7 septembre révèlent avant tout l’échec de la démocratie dans le pays », a considéré Jil Jadid, dans une déclaration signée par son président, Soufiane Djilali. « L’Etat doit ouvrir une véritable concertation pour réviser en profondeur les principes de fonctionnement du régime politique actuel », a-t-il ajouté.
Le président Abdelmadjid Tebboune a échangé au téléphone avec son homologue des Émirats arabes unis Mohamed Ben Zayed. Les deux présidents sont convenus de se rencontrer.
Vingt-neuf personnes sont décédées et 1 411 autres ont été blessées dans 1 204 accidents de la route survenus durant la période du 1 au 7 septembre à travers plusieurs wilayas du pays, indique ce mardi un bilan de la Protection civile.
Le club qatari Al Sadd a annoncé, lundi, l’arrivée de l’international algérien Youcef Atal. Libre de tout contrat, le latéral des fennecs trouve un point de chute et compte donner un départ à sa carrière.