
Si beaucoup d'observateurs considèrent que le sort de la parodie présidentielle du 7 septembre est bel et bien scellé au profit du président sortant, l'enjeu reste la participation, pour le pouvoir et les deux concurrents de Tebboune qui veulent éviter que se reproduise l'expérience traumatisants du boycott massif de la présidentielle du 12 décembre 2019, des législatives et des locales qui ont suivi.