
En Algérie comme en France, le mythe volontariste de « la réconciliation des mémoires » sature les esprits, les radios et les écrans, enfin, El-Mouradia et l’Élysée. Mais il ne s’agit que d’un mirage politicien destiné à mal nommer les choses, à se détourner de l’essentiel, à savoir les faits historiques qui, eux, résistent au confusionnisme, au vol de l’histoire.