
Les dénonciations de la dissolution de la plus ancienne ligue des droits de l'homme en Algérie, en l'occurrence la LADDH, se poursuivent. Cette fois-ci c'est au tour de 55 organisations de la société civile arabes et africaines de monter au créneau pour relever le caractère "arbitraire" et "contraire aux engagements internationaux de l'Algérie" de la décision des autorités politiques algérienne.