
« Faute de preuves ». C’est ainsi qu’a expliqué, ce mardi, le juge près le haut tribunal madrilène de l’Audience nationale sa décision de classer une plainte visant le président Sahraoui, Brahim Ghali, accusé de « torture ». Déposée contre lui par Fadel Breika, se présentant comme un dissident du front Polisario naturalisé espagnol, cette plainte ne connaîtra aucune suite.