
Par un savoureux «Coucou, nous revoilou », manchette de son édition n° zéro, en date du 5 octobre 2007, et après en avoir été chassé par ses propres petites portes, le journal Le Matin renaissait de ses cendres pour réapparaitre dans cette lucarne du web, encore plus grandiose et magique que celle des kiosques habituels, par la grâce et le combat d’un homme que le pouvoir avait cru mettre à genou pour de bon, en le jetant, quelques années auparavant, tel un vulgaire délinquant, en prison !