Le procès de l’affaire de vol et recel de téléphones portables acheminés vers l’Algérie s’ouvrira lundi 12 septembre, à Rennes, dans le nord-ouest de la
Mois : septembre 2022
Les réactions à l'emprisonnement du journaliste d'Echourouk Belkacem Haouam, pour un article qu'il a publié sur l'exportation des dattes, se multiplient au sein de la classe politique. Le parti Jil Jadid a jugé "incompréhensible et inacceptable" la décision de placement sous mandat de dépôt du journaliste, rappelant que la Constitution algérienne interdit la privation de liberté pour délit de presse.
La polémique autour de l’exportation des dattes algériennes, née des informations sur un prétendu retrait d’un lot de Deglet Nour en Europe suite à la découverte de la présence d’un pesticide interdit, le diflubenzuron, a fait réagir samedi le ministère de l’Agriculture et du Développement rural.
Le commerce est régi par des lois et un cadre est mis en place. Avides de profit, certains individus les transgressent et acheminent de la marchandise
Encore un journaliste emprisonné pour ses écrits. Les autorités, incapables de cohabiter dans un environnement qui permet l’expression de voix autres que ce qui est établit, passent à la manière radicale: la prison ! La mise en détention du journaliste d’Echourouk, le 8 septembre, pour un article paru la veille sur l’exportation de dattes algériennes, a choqué, au sein de la classe politique notamment.
L’Espagne ne désespère pas de remettre sur pied ses relations avec l’Algérie en crise depuis des mois. Crise énergétique oblige, elle multiplie les appels du
Maghreb Emergent - Exportations de sucre : l’Algérie vole au secours de l’industrie tunisienne de l’agroalimentaire %
L'Algérien qui est parti pour un périple de 4.000 kilomètres depuis Paris vers Alger vient d’annoncer une triste nouvelle.
Algérie - Découvrez les raisons de la réduction des portefeuilles suite au remaniement ministériel opéré par le président de la République.
En ces temps où la moindre info se retrouve très vite noyée dans un océan d’intox, surtout pour nos pays dits arabes, forcément arriérés dans le référentiel d’un Occident qui se veut maître de l’évolution (et il l’est, qu’on le veuille ou non !) chaque printemps transforme toutes sortes d’éclosions en fenaisons de cauchemars, d’effusions de sang ou de prison.