
Question idiote s’il s’agissait d’un autre pays que le nôtre. Puisque, par définition, un pays est sensé appartenir à ses habitants ! Mais l’Algérie est un cas atypique, tant le citoyen se trouve ignoré, marginalisé, méprisé depuis qu’« on lui a offert l’indépendance » (dixit Bouteflika).