
Si Henry A. Kissinger, le fameux négociateur sur le proche Orient lors du premier choc pétrolier de 1973, réputé par sa politique de « petits pas » pour passer de « la diplomatie immobile » à celle « de la navette », recommande aujourd’hui à l’Ukraine de « céder une partie de son territoire pour arrêter la guerre en cours», et le chef de la diplomatie française il y a moins de deux semaine Yves Le Drian, quant à lui prône la négociation avec Vladimir Poutine jusqu’à ce qu’il se rende compte «du prix à payer».