
Abdelmadjid Tebboune, président imposé par des généraux, intronisé lors d'une élection qui a eu dans la violence, dans la colère, une élection rejetée totalement en Kabylie où il y a eu zéro vote, déclare dans sa télévision, devant des journalistes-maison, qu'il n'y a pas de détenus d'opinion en Algérie.