
Il a été choisi par le président français, Emmanuel Macron, pour aborder un sujet commun très sensible qui tient mordicus les deux nations. Son profil d’historien et universitaire, et ses origines juives-algériennes, précisément de Constantine, peuvent paraître comme un choix judicieux, un compromis pour les deux pays. Une initiative décidée conjointement avec le chef d’État algérien Abdelmadjid Tebboune.