
Nommé l'an dernier à la tête du Grand Palais pour y faire souffler un vent frais de transversalité, Chris Dercon, ce gestionnaire de musées reconnu mondialement, ne se laisse pas démobiliser par la pandémie. Fort de ses expériences au PS1, à la Haus der Kunst et à la Tate Modern, il réfléchit au musée de l'« après ». Et se fait fort de triompher des lourdeurs bureaucratiques françaises.