Le texte a été adopté à l'unanimité en fin de soirée, avec 49 voix pour et aucune contre. Il doit maintenant être examiné par le Sénat.
Jour : 6 octobre 2020
Cet éminent spécialiste estime que la nouvelle Loi fondamentale du pays va concrétiser le principe de la «qualité de soins équitables entre tous les Algériens».
Les travaux de cette commission sont traditionnellement sanctionnés par l’adoption de résolutions ou de décisions qui ont un impact majeur sur les questions liées au développement, à la promotion des droits de l’homme et à l’assistance humanitaire.
La visioconférence ministérielle regroupant les pays ayant participé à la Conférence de Berlin 1 sur la Libye, dont l'Algérie, s'est tenue sous les auspices de l'Allemagne qui, tout en exprimant un optimisme prudent sur les chances d'une solution politique proche, a constaté le renouvellement de l'engagement en faveur d'une solution globale de nature à restaurer la paix dans un pays en crise depuis 2011. Organisée en marge de la 75ème session de l'Assemblée générale de l'ONU, cette visioconférence présidée par le MAE allemand Heiko Maas, sous l'égide du secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, aura vu la participation du ministre algérien des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, et elle aura constitué un moment crucial, compte tenu de la situation qui prévaut dans le pays où des développements encourageants ont été enregistrés, ces dernières semaines.Dans son intervention lors de cette réunion onusienne, Boukadoum a évoqué, tout d'abord, «l'évaluation de la mise en oeuvre des conclusions de la Conférence de Berlin, à laquelle le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait pris part, en janvier dernier». La Conférence de Berlin 1 - qui s'est tenue avec la participation de 12 pays, dont l'Algérie, et de 4 organisations internationales et régionales - a été sanctionnée par une déclaration finale, porteuse d'un appel au renforcement de la trêve en Libye et un travail constructif de la Commission militaire mixte (5 + 5), pour un cessez-le-feu global dans le pays. Les parties au conflit se sont engagées, à cette occasion, à cesser les attaques contre les installations pétrolières, promouvoir la formation de forces militaires libyennes unifiées et interdire les fournitures d'armes aux parties libyennes en conflit. Le chef de la diplomatie algérienne a mis l'accent dans son exposé sur le fait que l'Algérie est «l'un des rares pays qui n'envoient ni armes ni soldats en Libye». Au contraire, insiste-t-il, notre pays «préfère envoyer ses ingénieurs et ses techniciens pour réparer les dégâts créés par les autres à Tripoli». «C'est le visage de l'Algérie tel qu'il est apprécié par les Libyens», a-t-il noté tout en précisant que la position de l'Algérie est saluée à la fois par les autorités de l'Est et le Gouvernement d'union nationale (GNA), ainsi que par toutes les autres parties libyennes dans leur diversité. Il fallait que cela soit dit, sans ambages, car là est toute la différence entre la démarche algérienne, à laquelle s'est ralliée la Tunisie voisine, depuis quelque temps seulement, alors que les autres pays pèsent en faveur de tel ou tel protagoniste du conflit. Boukadoum a ainsi regretté que l'évolution tant espérée tarde à se manifester, malgré de multiples effets d'annonce, quand l'Algérie a mis de côté son initiative pour s'inscrire dans le cadre des efforts exprimés à la Conférence de Berlin. Partant du fait que la réunion onusienne reprend les mêmes objectifs, à savoir «trouver des solutions aux manquements» des uns et des autres, ainsi qu'aux grands problèmes que vivent les Libyens en raison de l'intervention étrangère, qu'elle soit militaire ou autre», le chef de la diplomatie algérienne a mis en exergue la forte sollicitation des Libyens auprès de la médiation algérienne et a conclu sur le constat selon lequel «tant qu'il y aura une intervention étrangère calculée, il n'y aura pas de solution» dans le pays voisin. Or, l'Algérie qui s'exprime en sa qualité de membre du processus de Berlin mais aussi, et surtout, en tant que pays voisin directement impacté par les conséquences du conflit en Libye et en sa qualité de membre du Comité de haut niveau de l'Union africaine sur la Libye, « réitère sa position qui intègre les éléments d'une solution politique garantissant l'unité, l'intégrité et la souveraineté de la Libye et à même de répondre aux attentes du peuple libyen en matière de paix, de stabilité et de développement». Une position qui découle de son immuable doctrine de politique étrangère, au demeurant bien connue.
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