
Il était une fois, nous dira-t-on, un pays qui ne détestait pas que les femmes et les hommes libres, mais les cafés littéraires aussi. Les livres. Les lecteurs. Aokas alors, suivie de Tichy, de toute la Kabylie, de l’Algérie et de la diaspora aux quatre coins du monde, avant l’assaut final de l’obscurité, clamait les livres.