
Je ne me prends pas soudainement pour le Pape Jean Paul II qui proclama cette célèbre phrase, reprise de plusieurs passages de la Bible. Une parole qui a contribué psychologiquement à la chute du régime de Varsovie puis du mur de Berlin. C’est une incantation très commune mais si nécessaire pour donner de l’élan à une jeunesse, abattue par le sentiment d’un avenir introuvable, qu’il faut la répéter inlassablement en encouragement.