Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune a procédé jeudi à un vaste mouvement dans le corps des présidents et
Jour : 7 août 2020
Certains ont renoncé à partir, d’autres n’ont pas pu et d’autres encore se dépaysent près de chez eux. De préférence dans la nature. L’été 2020 est exceptionnel.
Dans son Guide du Soissons colonial, le professeur d’histoire et militant antiraciste Dominique Natanson étudie le nom des rues et les actions des hommes à qui l’on a voulu rendre hommage : les généraux Mangin et Gouraud, les maréchaux de Lattre de Tassigny ou Lyautey, etc. Il veut ouvrir un débat. Pour lui, on a « le droit et le devoir de réviser la mémoire ».
Emmanuel Macron s’est mis hier dans les pas de François Mitterrand et de Jacques Chirac, qui étaient venus au Liban respectivement en 1983 après l’attentat du Drakkar contre 58 militaires français, et en 2005 après l’assassinat du Premier ministre Rafic Hariri. Deux drames terribles mais sans commune mesure avec celui que vit le Liban depuis mardi, après qu’une double explosion a ravagé la moitié de la capitale, faisant au moins 149 morts – dont l’architecte français Jean-Marc Bonfils –, quelque 5 000 blessés et plus de 300 000 sans abri. La visite du président français était évidemment très attendue sur place compte tenu des liens d’amitié anciens et des relations politiques, économiques et culturelles qui unissent nos deux pays. "Le Liban n’est pas seul", a tweeté Emmanuel Macron, en français et en arabe, dès son arrivée à Beyrouth, où il a été accueilli par le président Michel Aoun. "Aidez-nous ! Révolution"Le chef de l’Etat, accompagné du ministre des Affaires étrangères Jean-Yves..
En visite hier à Beyrout, ville dévastée, Emmanuel Macron a durci le ton contre les dirigeants libanais conspués par la rue, les exhortant, après des visites dans des quartiers ravagés, à "changer de système" et à...
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