
La pandémie nous maintient à l’écart des musées et des œuvres. De leur absence ne demeure que l’image imprimée dans les livres et sur les cartes postales, à laquelle s’attache un endroit, un voyage. Aujourd’hui, notre journaliste se souvient d’une œuvre de Niki de Saint Phalle formée de tôle, de ferraille et de dégoulinures multicolores. Un “Tir” monumental, conservé au musée d’Art moderne de Nice, qui stupéfia le monde de l’art du début des années soixante.