
Les participants à un colloque international, organisé samedi soir sur les récentes orientations de la Cour suprême espagnole et leur relation avec la diplomatie parallèle, ont affirmé que les décisions récemment prises par cette Cour en rapport avec la question de l'intégrité territoriale du Royaume constituent une « forte claque » au soi-disant front « polisario » et un « acquis » pour la diplomatie judiciaire marocaine. Les décisions de la Cour suprême espagnole concernent principalement la décision d'interdire l'utilisation, occasionnelle ou permanente, de drapeaux « non officiels » ou de toute expression politique à l'intérieur comme à l'extérieur des bâtiments publics, ainsi que l'arrêt émanant de la Chambre civile de la Cour qui a refusé la nationalité espagnole à une citoyenne née en 1973